Luc conteste la méthode de calcul de l'indice des prix à la consommation (IPC), arguant qu'il ne reflète pas la réalité des consommateurs, surtout ceux à faible revenu, qui voient leur pouvoir d'achat diminuer malgré une inflation officielle à 1,8% au Québec.
Il souligne que les augmentations passées des prix, comme celles du logement, ne sont pas prises en compte dans l'IPC actuel, et que les prix en épicerie et pour les services essentiels continuent d'augmenter, rendant la vie plus chère pour les Québécois, en particulier pour les familles nombreuses et ceux vivant du salaire minimum.