À écouter
Les Gatinois peuvent-ils espérer une hausse de taxes de 1,8% comme à Montréal?
À écouter
Les questions des auditeurs(ices) de LP, le midi pour Maude Marquis-Bissonnette
Maude Marquis-Bissonnette continue de s'engager à une hausse de taxe maximale à 3,18% en 2025.
À l'aube de l'étude du budget le mois prochain, elle garde donc le cap sur sa promesse électorale.
À titre de comparaison, le budget 2024 avait été adopté avec une hausse de taxe de 2,9%.
«Le conseil municipal s'était doté d'un plan financier à long terme qui prévoyait une taxe à 3,9 % cette année pour 2025. Moi j'ai dit, ça c'est trop élevé. Il faut ramener ça à quelque chose d'un peu plus bas. Puis, en faisant la moyenne des hausses de taux de taxe des dix prochaines années à Gatineau, on arrivait à 3,18. Moi, c'est l'engagement électoral que j'ai pris.»
Matières résiduelles : moins de plainte au 311
De plus en plus de citoyens semblent s'adapter à la nouvelle règlementation de la collecte des matières résiduelles.
En place depuis plus de trois mois, plusieurs plaintes sont encore transmises au service 311, mais le nombre diminue.
«Là, ce qu'on voit ce mois-ci, c'est une diminution de 40 % des requêtes au trois un sur la gestion des matières résiduelles, pour les ordures, pour le compostage, pour le surplus d'ordures, c'est une baisse de 60 %. Les sacs qu'on met à côté des poubelles, puis pour les encombrants sur appels sur inscription. C'est une baisse de 79 %, parce qu'on a dorénavant une équipe dédiée à ça.»
Un comité pour les plaques ontariennes
Un comité est en train d'être constitué pour s'occuper des citoyens qui habitent à Gatineau, mais dont la plaque d'auto est immatriculée en Ontario.
Au cours de l'été, des représentants de la ville de Gatineau ont rencontré des représentants de Revenu Québec et la Société d'assurance automobile du Québec afin de dégager des pistes de solutions.
Ce comité de travail est maintenant en phase préliminaire.
«La ville a mis en place un comité de travail avec le gouvernement du Québec, donc Revenu Québec et la Société de l'assurance automobile du Québec, la SAAQ, pour faire un comité de travail pour être capable d'identifier c'est quoi les pistes de solutions pour l'avenir.»