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Plafond sur les émissions de visas étudiants

Pas nécessairement une mauvaise nouvelle pour l'UQO

Pas nécessairement une mauvaise nouvelle pour l'UQO
Murielle Laberge, rectrice de l'UQO / UQO

La mesure du fédéral d'imposer un plafond de deux ans sur les admissions d'étudiants internationaux au pays n'aura qu'un effet limité au Québec. 

C'est ce qu'a déploré le gouvernement de la CAQ hier alors que le premier ministre François Legault avait récemment exhorté Ottawa de resserrer la politique d'octroi des visas. 

La réduction annoncée de 35 pour cent des nouveaux visas d'études cette année en touchera pas les quotas au Québec. 

Mais parfois, ce qui fait le malheur des uns peut faire le bonheur des autres. Pour l'Université du Québec en Outaouais, cette annonce pourrait signifier l'accueil de nouveaux étudiants internationaux.  

La rectrice de l'UQO, Murielle Laberge, s'est d'ailleurs dit prête à accueillir cette augmentation.

On est prêt. Sachez qu'on a déjà connu cet hiver une hausse de 50% de nos étudians internationaux comparativement à 2023. Ils sont tous accueillis, ils sont tous logés. Oui, on est prêt à faire face à une autre augmentation.

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