À l'occasion de sa chronique, Katia Gagnon revient sur l'affaire Daniel Renaud, journaliste judiciaire dont la tête a été mise à prix par un tueur à gages du crime organisé, Frédérick Silva.
Katia Gagnon discute de sa propre expérience pendant le Printemps érable en tant que journaliste.
«Les journalistes qui couvraient ces manifs-là, c'était vraiment un phénomène qui nous avait un peu jetés à terre. Ils se faisaient harceler, bousculer. Il y avait une grande agressivité à leur endroit et certains médias avaient même dû engager des gardes du corps.»
Elle mentionne aussi le cas du président élu des États-Unis, Donald Trump, qui a prononcé des propos haineux à l'égard des journalistes.