Le fléau de la sextorsion est à un point tel qu'il serait désormais question d’une crise de sécurité publique, selon la Gendarmerie royale du Canada et des experts.
Cet acte de cybercriminalité consiste à extorquer de l'argent ou des faveurs sexuelles à une personne jointe par l’entremise des réseaux sociaux, sous la menace de diffusion d'un contenu personnel sexuellement explicite.
Le Journal de Montréal a rapporté lundi que 83% des victimes de sextorsion au pays sont des garçons.
Écoutez René Morin, porte-parole du Centre canadien de protection de l’enfance, en discuter à La commission.
«Au Centre canadien de protection de l'enfance, on reçoit parfois jusqu'à dix signalements par jour de nouveaux cas de sextorsion.»