C’est l’impression de plusieurs analystes politiques dont Karl Bélanger : écoutez son édito au micro de Louis-Philippe Brulé.
« La lettre de démission (de Chrystia Freeland) a été fracassante pour une raison : elle voulait faire un geste d'éclat. Et pour ceux qui voulaient que Justin Trudeau parte, ben c'est elle qu'il faut remercier. »