De nombreux parents d'enfants qui fréquentent l’école primaire Victor-Rousselot sont mécontents de l'ouverture de la Maison Benoît Labre, un centre d’inhalation et d’injection de drogues sous supervision, située à 80 mètres de l'établissement scolaire.
Charles Deschênes-Trottier, père de deux enfants fréquentant l’école primaire Victor-Rousselot, exprime ses inquiétudes, vendredi, au micro de Patrick Lagacé.
«Il y avait une tente et tout ça a pris toute la journée pour que les autorités viennent l'enlever. Mais bon, là, ils sont beaucoup, ils sont à peu près une dizaine chaque jour, donc ils consomment. Là, c'est vraiment à la vue des enfants, c'est à travers la clôture, on peut les voir.»